Début janvier, la FNADEPA Bretagne a tiré la sonnette d’alarme auprès du directeur général de l’ARS face à une double urgence : recruter et financer.
Outre les difficultés de recrutement, elle a pointé du doigt dans un courrier les insuffisances de financement du Ségur et de la prime Grand âge auxquelles sont confrontés les 250 adhérents bretons.
Selon un sondage, 95 % des établissements répondants constataient un écart médiant de 17 500 € entre les crédits versés et les besoins réels de financement du Ségur.
La FNADEPA Bretagne a interrogé aussi l’ARS sur le mode de calcul de l’allocation de crédits, calculés sur la base du GMPS et non sur celle des effectifs réels de chaque structure qui « serait une base plus pertinente » à même de couvrir les charges réelles du Ségur et de la prime grand âge.
L’ARS n’a pas encore apporté de réponse.